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Photo du rédacteurMaren 18

Charlotte Bluer

Dernière mise à jour : 12 févr. 2023



Charlotte Bingley, née Bluer est une des petites sœurs de Lawrence Bluer.


 
  • Nom complet : Charlotte Bluer

  • Alias : Lottie, Asterion Owlfield

Caractéristiques personnelles :

  • Espèce : Humaine

  • Sexe : Féminin

  • Naissance : 1878

  • Signe astrologique :

  • Décès :

  • Taille :

  • Poids :

  • Groupe sanguin :

Statut professionnel

  • Affiliation : Noblesse anglaise

  • Occupation : Femme de lettres

  • Base d'opérations : Surrey, Angleterre (avant) - Nottinghamshire

Statut personnel

 

APPARENCE


(à venir...)


 

PERSONNALITÉ


Charlotte est quelqu'un qui peut se plier aux règles mais elle ne résiste pas longtemps car elle désire être une femme libre, penser librement et c'est à travers les mots qu'elle exprime sa liberté. Charlotte est quelqu'un de sincère, plutôt, tenace, forte et ne baisse pas les bras facilement.


Contrairement à ses sœurs, elle se montre moins frivole et ne porte pas un grand intérêt pour les robes, les produits de beauté ou faire des emplettes. Elle estime qu'être intellectuelle est sa vertu et valeur de la famille, comme son père l'a toujours dit.


Charlotte se montre indépendante et ambitieuse. Elle est ouverte envers les inconnus, donc elle sait discuter naturellement avec les autres, voire parfois avec un langage un peu décontracté si elle est entourée de proches.

 

HISTOIRE


Charlotte Bluer est la sixième enfant de Mr. Bluer et Florence Lloyd. Comme ses frères et sœrs sauf Miranda, elle était intellectuelle et se nourrissait de culture générale à travers les livres plus ou moins complexe comme la littérature, la philosophie, l'économie, l'Histoire, la géographie, la géopilique, la politique, l'art etc. Parmi les sœurs, elle était proche de Adela, qu'elle la surnomme affectueusement "Linda", bien que cette dernière préférait être solitaire et passer son temps à lire dans son coin. Enfant, Charlotte ne pensait qu'à s'amuser et ne cessait d'embêter sa sœur Linda pour jouer aux poupées. Elle avait déjà tenté avec ses sœurs jumelles mais celles-ci étaient trop proches et elles avaient déjà leur monde à elles. Durant son enfance, Charlotte a tenté divers expériences ou fait des bêtises comme monter sur un arbre, sauter par le balcon (elle a juste tenté).


Elle a commencé à écrire son premier roman à l'âge de 10 ans. Ses histoires parlent des conditions de la femme au sein de la société britannique. Charlotte dénonce l'inégalité entre homme et femme, les travaux ingrats des domestiques ou des ouvrières. En effet, Charlotte a discrètement visité une usine dont son père dirigeait, et elle était horrifiée des conditions de vie des ouvrières de verroterie. Après avoir été témoin de la vie brève des ouvrières, des domestiques et femmes sans fortunes, Charlotte crée une héroïne à l'image de ces femmes. Charlotte imagine des scènes improbablement qu'elle corrigera plus tard.


Comme Linda et les jumelles, Charlotte n'était pas promise à un fiancé. Elle était très heureuse car elle ne voulait pas que sa voie soit tracée, elle rêve d'une vie de pleine d'aventure comme dans les romans. Malheureusement elle sait que c'est impossible car les histoires ne sont de la fiction, surtout rencontrer son prince charmant. Toutefois, Charlotte envie beaucoup sa sœur Miranda. Car cette dernière est promise à à leur cousin, Columbus Lloyd, dont Charlotte avait le béguin pour lui car Columbus était quelqu'un d'instruit, cultivé, intelligent, intéressant et beau.


En juin 1888, Charlotte assîtes à la réception de l'ouverture du cricket où elle fait la connaissance du comte Ciel Phantomhive. Elle a été témoin du second miracle bleu. Elle avait 10 ans.


En 1892, lors d’une balade à cheval avec Charlotte Bluer, Columbus lui montra la demeure des Midford. Ils s’approchèrent et virent Edward en train de jouer au cricket. Edward les invita alors à venir les regarder, et proposa à Columbus de jouer également. Malgré les réticences de ce dernier, il était forcé de participer au jeu… mais il s’avérait très incompétent. Il n’avait jamais été un bon joueur de cricket. Charlotte ne manqua pas d'observer de près sou cousin, ce qui inspira de créer l'amoureux de son héroïne du roman (qu'elle modifiera complètement finalement, après avoir rencontré son futur époux). Il se fit éliminer dès le premier tour. A la place, il rejoingnit Charlotte et regarda la scène.


En avril 1893, Charlotte assiste au mariage de Columbus Lloyd et Miranda. Charlotte s'aperçoit tout de suite que c'est un mariage malheureux. Ce mariage lui a inspiré pour faire un mariage malheureux de l'héroïne de son roman qu'elle a commencé à écrire depuis à l'âge de 10 ans.


A l'âge de 11 ans, Charlotte entre dans un internat très sélectif où il n'y a que des jeunes filles très cultivées et instruites possédant une intelligence hors norme. Charlotte ne s'est jamais sentie à l'aise ou à sa place au sein de l'internat. Elle inspire alors sa vie dans l'internat pour son héroïne. Charlotte n'a pas réussi à se faire des amies car les filles de l'internat regardèrent de haut; Charlotte faisait partie des "pires" élèves de l'internat car elle ne se donne pas à fond dans les études, notamment les matières scientifiques comme l'arithmétique, les sciences ou la biologie. Charlotte resta dans l'internat jusqu'en 1894, en raison de ses résultats qui ne correspondait pas aux attentes de l'internat.


Le 29 juillet 1894, Charlotte participe au mariage de Clayton et Linda. Charlotte envie plus ou moins sa sœur car elle voit que Linda est heureuse avec son époux et le couple est déjà désireux d'agrandir leur famille.


Une fois sortie de l'internat et après le mariage de Linda, Charlotte est contrainte de vivre chez sa tante paternelle, Lady Winter car son père est âgé et il estime que sa fille Charlotte n'est pas encore une lady accomplie. Charlotte commence à développer son caractère plus ou moins rebelle en raison des ordres forcés par son père. Sa tante exaspéra sa nièce car elle n'a toujours pas de fiancée, à l'âge de 16 ans. Charlotte qui passait son temps à écrire, Elle se rendait souvent aux cours de bonnes manières qui l'ennuyait au plus haut point - le seul élément positif étant l'excellent thé.


Un jour, elle décida de publier son roman terminé (qu'elle a écrit pendant 6 ans). Elle se rendit à plusieurs éditeurs, sans succès cependant. Puis elle entra dans un dernier. Un jeune homme blond, répondant au nom de Samuel Berstone, l'accueillit et lui dit qu'il transmettra le manuscrit à l'éditeur une fois que celui-ci sera revenu.


Une semaine plus tard, Charlotte reçut une lettre, interceptée par Lady de Winter qui l’interrogea sur cette étrange lettre. Charlotte resta vague sur sa réponse. Elle se rendit ensuite, trois jours plus tard, au rendez-vous convenu dans cette lettre dont le message contenait :


Chère Charlotte Bluer,

J’ai lu le manuscrit que vous m’avez confié. Pouvons-nous convenir d’un rendez-vous le ??, à 15h ?

Bien à vous,

M. Vanhorne


Le jour venu, elle se rendit au rendez-vous vêtue de son plus bel accoutrement. Elle fut de nouveau accueillie par le jeune homme qui l’emmena jusqu’au bureau de l’éditeur. Mais voilà qu’en entrant, elle cassa le talon d’un de ses souliers et tombe à moitié au sol. L’homme lui demanda si elle va bien, et Charlotte le reconnut : elle l’avait déjà croisé, plusieurs jours auparavant, en train de regarder fixement un réverbère, plongé dans ses pensées.


L’homme lui dit qu’il y a beaucoup de modifications à faire et que l’écriture est assez enfantine, mais que les idées étaient originales. Mais Charlotte dit qu’il s’agissait d’un manuscrit que son frère a écrit quand il était encore en études - sans avouer que c’est en réalité elle, l'auteure Néanmoins, Silas Vanhorne se doutait de quelque chose, mais décida de ne rien dire pour le moment, se disant qu’elle avait certainement ses raisons à ne pas vouloir divulguer son nom. Il lui demanda s’il était possible de travailler directement avec son frère, qu’il dit être l’auteur, mais la jeune femme prit une mine plus sombre en confiant qu’elle n’avait plus de nouvelle de lui depuis des années. Mr Vanhorne se sentit gêné d’être entré sur un terrain sensible. Il accepta donc de travailler avec elle qui a ramené le manuscrit en mains propres.


Depuis lors, ils se virent quasiment tous les jours, les après-midis, pour éditer l'œuvre. Des passages entiers étaientt retravaillés, voire supprimés, et le choix des mots était de nouveau pensé.


Mais entre-temps, Charlotte décida de quitter la demeure de Lady de Winter, trop à cheval sur les étiquettes selon elle. Elle voyait bien que la dame désapprouvait son manuscrit, et elle ne se voyaitt pas travailler dans de telles conditions. Bien que la servante tenta de la dissuader, sa décision était déjà prise : le lendemain, à l’aube, elle quitta la maison pour se trouver un appartement dans le centre de la ville et un travail en tant que serveuse.


Alternant ses travaux d’écriture et son job, elle se fatigua vite, mais montra toujours autant de motivation pour l’édition de son roman. Toutefois, il arriva qu’elle ne venait pas avec une bonne mine au bureau de l’éditeur, parce qu’elle avait passé une horrible soirée.


En janvier 1895, son patron Silas Vanhorne embauche Charlotte pour qu'elle assiste son collègue Samuel et subvenir à ses besoins. Finalement son nouveau travail lui plaît beaucoup et démissionne immédiatement le travail de serveuse pour consacrer pleinement sa vie dans la maison d'édition. Apprenant la nouvelle, son patron Silas Vanhorne a décidé d'améliorer les conditions de vie de l'appartement e qui touche énormément Charlotte.


Charlotte apprécie beaucoup son collègue Samuel. Ensemble, ils passent leur journée à travail derrière le comptoir à trier, répertorier les manuscrits. Étant bavarde, Charlotte discute beaucoup avec son collègue. C'est par ces heures de discussion que Charlotte apprend à connaître son collègue. En effet, ce dernier est orphelin et ses parents sont décédés peu après sa naissance, ce qui attriste la jeune fille.


Un jour, Charlotte discute énormément avec Samuel et ils parlent de la ville de Londres. Samuel est curieux de savoir à quoi ressemble Londres alors Charlotte décrit la ville, puis elle sent soudain l'odeur du tabac pensant que cela vient de Samuel. En réalité il y a un client devant le comptoir qui fume. Il s'agit de Sirius Bingley. Ce jour-là, Charlotte ne se doutera jamais que ce sera son futur époux. Charlotte et Samuel se doutent qu'ils l'ont fait attendre longtemps. Finalement le client quitte la maison d'édition.


Dans la journée quand Charlotte n'a rien à faire, elle lit les manuscrits des futurs écrivains. Elle tombe sur une histoire parlant d'un pirate et elle trouve l'histoire passionnante, mais elle tombe sur une page où il y a une faute. Connaissant les exigences de son éditeur, Charlotte écrit d'urgence une lettre à l'auteur du manuscrit. Elle part à la poste et, sur le chemin de retour, elle trouve une carte d'identité dans la rue. Charlotte se dit qu'elle rendra la carte après sa journée de travail. Finalement elle l'oublie. Le lendemain, Charlotte repense finalement qu'elle doit rendre la carte. Avec son collègue Samuel, ils découvrent le propriétaire de la carte et se moquent de ce dernier. Charlotte propose à son collègue d'aller au café pendant leur pause. Charlotte s'inquiète autant que son collègue pour le surmenage de leur patron.


Au café, Charlotte et Samuel revoient le lcient fumeur, ce dernier les insulte pour la longue attente d'hier. Samuel s'excuse et se rend compte que le client fumeur est celui qui a perdu sa carte d'identité. Samuel rend la carte et en échange, il prend le manuscrit. Charlotte commence à lire le manuscrit et est surprise qu'il soit écrit au crayon à papier, et le premier paragraphe est en latin.


Publication de son roman par la maison d'édition Vanhorne

 

GÉNÉALOGIE


(à venir)

 

RELATIONS


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(à venir)


Charlotte s'entend déjà à merveille lors de sa première rencontre. Ils entretiennent une relation étroite depuis que Charlotte est devenue son associée.


(à venir)


 

ŒUVRES


Cette liste présente les ouvrages écrits par Charlotte Bluer.

  • Roman. "Titre à chercher", publié en ?, édité par la maison d'édition Vanhorne : Son premier ouvrage, déjà dense pour un premier, publié sous son pseudonyme, Asterion Owlfield. Son ouvrage parle d'une héroïne anglaise contrainte de vivre sous les conditions de femme au sein de la société de l'époque. Après différentes péripéties, l'héroïne rencontre son grand amour, dont ce dernier est inspiré tout droit du futur époux de Charlotte, que ce soit la description du physique, la personnalité, le milieu social où il vit et même son nom a été utilisé pour le personnage en question. L'ouvrage ne connaît pas un succès auprès des lecteurs de la haute société. Ceux)ci jugent le roman long, ennuyeux parsemés de longueurs avec des descriptions interminables, peu de scènes élégantes sont présentes. Le seul avantage est l'emploi des mots bien réfléchis pour pouvoir lire jusqu'au bout le roman dense. En revanche, le roman est apprécié auprès des jeunes lectrices issues du milieu modeste (pour celles qui sachent lire). Beaucoup de jeunes filles de ce milieu se sont vite senti assimilées à l'héroïne.

  • Recueil de poèmes. "Titre à chercher", publié en ?, édité par Ferguson & co. : Ce recueil de poèmes n'st pas entièrement écrit par Charlotte Bluer, il y a les poèmes de son frère Lawrence et ceux de Linda qui sont dans l'ouvrage. Le recueil ne connaît pas de succès et est vite tombé dans l'oubli. Pire encore, le manuscrit a disparu. Furieuse, Charlotte ne reverra plus la maison d'édition.

  • Manuel scolaire. "Apprendre la conjugaison anglaise facilement", publié en ?, édité par ? : Ouvrage destiné aux écoliers et écolières issus du milieu ouvrier. En effet, l'ouvrage ne coûte pas moins de cinq shillings ce qui est un prix extrêmement raisonnable pour les familles ouvrières.

 

ANECDOTES

  • Son écrivaine préférée est Charlotte Brontë. Elle admire et approuve totalement les œuvres littéraires de cette dernière. D'ailleurs Charlotte s'est inspirée de l'écrivaine pour écrire son roman.

    • Curieusement Charlotte porte le même prénom que son écrivaine préférée. Après tout, ses parents ont donné ce prénom en l'honneur de l'écrivaine.

  • Son pseudonyme Asterion Owlfield, Asterion vient du second prénom de son époux, et dans le nom "Owlfield" il y a "Owl" dont Charlotte s'est inspirée de l'animal du dortoir de son frère au Weston College "Saphir Owl". Pour "fille", Charlotte a grandi près d'un champ.

  • L'écriture de Charlotte est décrite comme une écriture petite, plus ou moins illisible avec des lettres en inclinaison au trait fins. Les espaces entre les mots sont importants et ses signes de ponctuation priment chaque ligne. L'espace entre chaque ligne est ni serré, ni écarté. Bien qu'elle a une écriture plutôt illisibles, elle possède une belle écriture notamment ses lettres en majuscule qui ressemblent à de la calligraphie.

  • Charlotte préfère utiliser de l'encre sépia que l'encre noir pour écrire ses ouvrages. Elle utilise le crayon à papier pour les notes en bas de page.

  • Charlotte a déjà testé la machine à écrire pour écrire ses ouvrages mais elle a détesté l'expérience donc elle se penche sur la méthode traditionnelle.

  • Après le mariage, Charlotte commence à fumer mais elle va arrêter de fumer (quand ? à venir en fonction de son histoire)

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